Rug revolution
Sometimes there is a man...and
his rug. C’est
l’histoire d’un mec et de son tapis. Voilà qu’un jour, sur un malentendu, on
pisse sans vergogne sur sa carpette. Il faut dire que le dit tapis est vieux et
moche, mais qu’importe, c’est SON tapis.
Lui, c’est The Dude.
Un homme à part dans une cité d’anges un peu timbrés. Un amateur d’inertie, de
White Russian, de bédo et de Bowling.
"What the fuck are you
talkin’ about?"
The Dude, en dehors
de son tapis, a aussi de bons amis. Walter et Donny,
un vétéran bavard et un loser qu’on ne laisse pas parler ("Shut the fuck
up Donny !"). Après concertation, The
Dude décide de demander un
dédommagement à son riche homonyme, objet de la méprise. Le voilà donc pourvu
d’un nouveau tapis fort confortable qui plane dans les cieux.
Malheureusement, His Dudeness se fait encore défoncer et son tapis
est volé. Mais ce n’est rien à côté de Bunny,
la nymphette nympho, qui se fait kidnapper. Et c’est notre Dude qui doit remettre la rançon à une
bande de nihilistes germanophones.
Une
chose en entraînant plusieurs autres, tout part en cacahuètes… pas d’argent,
pas de kidnapping, un pétage de plombs, une plage, des Russes Blancs, des
boules, Saddam, la police, the Eagles, une nudiste, un bébé, Jésus mauve, une
baston, une crise cardiaque… et l'océan.
"Fuck it, man. Let’s go
bowlin’"
Après
des adieux un peu ratés et une accolade touchante, The Dude repart avec son pote Walter à l’endroit où ils se sentent le mieux
: The bowling alley.
The
Big Lebowski est un de
ces films particuliers qu’on aime sans pouvoir dire clairement pourquoi (la
preuve, cette bafouille qui n’a aucun sens ^^). Entre comédie humaine et
connerie universelle, les frères Coen nous offrent, comme ils savent le faire,
une brochette de personnages loufoques qui crapahutent dans une histoire
singulière. Néanmoins, des personnages (principaux) qui ne perdent jamais de
leur humanité. Bouffons attachants dans toute leur splendeur ! Qui n’aimerait
pas partager un pétard avec The
Dude ou faire une partie de
bowling avec Walter ?
The Big Lebowski, c'est deux heures de plaisir décalé sur fond d'une bande son
géniale. En tout cas un film à consommer sans modération, de préférence en
étant bien entouré et c'est surement encore mieux en bédavant avec des potes!
Well, the Dude
abides… and we’re happy about that !
“I guess that's the way the whole durned human comedy
keeps perpetuatin' itself.”
Et pour ceux
qui veulent se convertir au Dudeisme, c’est ici :)



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